En tant que startup en croissance, nous faisons immanquablement face à la dérive opérationnelle.
La dérive opérationnelle est la déviation progressive et non intentionnelle des processus opérationnels.
Comme nous sommes une startup technologique, nous nous sommes structurés entre algorithmes et bases de données. La dérive opérationnelle peut ainsi venir de ces secteurs chez nous, mais aussi dans d’autres aspects comme organisationnels.
La dérive opérationnelle, c’est par exemple de voir le temps de chargement devenir trop long parce qu’on a renforcé les traitements de données pour la cyberdéfense et la personnalisation. Un long temps de chargement, c’est une mauvaise expérience utilisateur donc moins de conversion.
Ce que nous voyons régulièrement est que l’algorithmie devient trop complexe pour un volume de données en croissance et cela vient alors percuter nos processus métier tels que notre CRM (Client Relationship Management).
Ainsi, avec la captation des données des métiers mis en algorithme, avec leur traitement et leur visualisation, nous parvenons à rapidement détecter les cas de dérives opérationnelles pour les corriger.
Nous standardisons nos processus avec la structuration progressive de l’entreprise pour être plus efficace et s’améliorer en continu. Mais la dérive opérationnelle peut se cacher partout, c’est donc un état d’esprit à maintenir : celui en éveil, orienté à la recherche des dérives opérationnelles, qu’il nous faut maintenir.
Nous visons l’excellence opérationnelle, car nous n’avons pas le choix : ça marche ou ça ne marche pas.